Lewis Hamilton fait rugir sa MV Agusta F4 RR dans les rues de Monaco, son terrain favori
Il y a des passions qui ne s’expliquent pas. Depuis l’enfance, Lewis Hamilton a toujours été fasciné par la vitesse, que ce soit en kart, en F1 ou en moto. À Monaco, sur sa MV Agusta F4 RR, il retrouve cette sensation pure, ce plaisir brut du vent qui fouette le visage, du rugissement du moteur sous ses doigts. Ce n’est pas seulement une moto, c’est un écho du passé, une madeleine de Proust mécanique. Car avant d’être un champion, il était juste un gamin qui rêvait de vitesse. Et aujourd’hui encore, ce rêve continue de vibrer sous ses roues.
Une moto qui en jette
Difficile de ne pas tomber sous le charme de cette F4 RR customisée. Carénage blanc éclatant, touches rouges métallisées et selle noire piquée de blanc… Un design qui envoie du lourd et qui rappelle subtilement les couleurs de Ferrari. MV Agusta garde le secret sur les détails techniques de cette version unique, mais une chose est certaine : c’est un vrai bijou. Ajoute à ça le casque noir floqué Monster Energy et la démarche assurée de Hamilton, et on comprend vite que ce n’est pas juste un caprice, mais bien une passion.
Une bécane taillée pour la vitesse
La MV Agusta F4 RR, c’est pas de la rigolade. Sous le capot (ou plutôt sous le réservoir), on trouve un moteur quatre-cylindres de 998 cc qui balance près de 200 chevaux et peut grimper à 300 km/h. Autant dire que ça déménage ! Conçue pour la piste, cette superbike est aussi agile qu’agressive, parfaite pour un pilote de la trempe de Hamilton. Pas étonnant qu’il la maîtrise aussi bien : son passé avec MV Agusta remonte à plusieurs années, notamment avec la Brutale 800 RR LH44, une édition limitée qui avait fait un tabac.
Monaco, le terrain de jeu idéal
On le sait, Monaco est une jungle pour les supercars. Entre les bouchons et les routes étroites, difficile d’exploiter la puissance d’une Ferrari ou d’une Lamborghini. Mais sur une moto comme la F4 RR, c’est une autre histoire ! Hamilton s’est faufilé avec une facilité déconcertante, profitant des ruelles monégasques pour tester sa monture. Un passe-droit ultime dans une ville où l’asphalte est aussi précieux que les yachts amarrés au port.
Un roi sur quatre et deux roues
Si certains voient les motos comme un simple moyen de transport, pour Hamilton, c’est une vraie passion. Ce n’est pas juste une question de vitesse, mais une manière de ressentir l’adrénaline autrement. Il suffit de le voir rouler pour comprendre : il ne fait qu’un avec la machine, comme sur un circuit de F1. Cette F4 RR, c’est un bout de son ADN, un prolongement de son amour pour la performance et le style.