Motards dans le viseur : enfin la vérité sur les radars nouvelle génération

Le plaisir de rouler à moto est en train de se heurter à une réalité technologique de plus en plus contraignante : les radars dits « intelligents ». Dotés de caméras HD, de capteurs multiples et parfois de microphones, ces nouveaux dispositifs ne se contentent plus de flasher un excès de vitesse. Ils analysent, croisent les données, et surtout, ils reconnaissent de mieux en mieux les deux-roues.
Un radar qui pense (presque) comme un humain
Le Mesta Fusion 2 ou encore le Parifex Nano incarnent cette génération de radars capables de surveiller plusieurs voies et types de véhicules à la fois. Pour les motards, cela signifie que l’époque où une plaque inclinée ou une manœuvre agile permettait d’échapper au flash est révolue.
Ces radars différencient désormais une moto d’une voiture, identifient une trajectoire dynamique et captent même les sons d’un pot d’échappement. Et ce n’est pas de la science-fiction : certains modèles reconnaissent le comportement d’un dépassement « limite », détectent un franchissement de ligne ou une vitesse excessive entre véhicules.
Les motards, cibles involontaires mais évidentes
Le comportement naturel du motard — souvent plus dynamique, avec des changements de voie fréquents — attire automatiquement l’attention des algorithmes. Et cela, même si la vitesse est respectée. À cela s’ajoutent les radars de bruit, déployés dans plusieurs grandes villes, qui sanctionnent les deux-roues jugés trop sonores, sans même qu’un agent intervienne
Ce cocktail technologique transforme peu à peu l’expérience de la route : le simple fait de rouler « comme un motard » peut désormais suffire à déclencher un contrôle.
Des règles qui changent… et qui échappent aux motards
Le cadre légal a évolué discrètement. Depuis la Loi LOM, les collectivités peuvent installer des dispositifs de surveillance sans homologation nationale, notamment pour le bruit ou la circulation dans des zones interdites. Résultat : des amendes automatisées tombent parfois sans que le conducteur n’ait été intercepté, ni même compris la raison du PV.
Les recours sont rares, souvent complexes, et les erreurs de détection (plaque mal lue, seuil de bruit imprécis) se règlent devant un tribunal, à la charge du motard.
Une passion sous tension
En ville, de nombreux motards confient éviter certaines rues ou quartiers pour ne pas risquer une verbalisation injuste. D’autres privilégient désormais les itinéraires ruraux, moins surveillés. La balade improvisée laisse place à une planification stratégique : où sont les radars ? Quel est le niveau de tolérance sonore local ? Jusqu’où peut-on encore « rouler libre » ?
Le plaisir reste intact, mais il se vit dans un contexte de surveillance permanente. Même le bruit d’un échappement d’origine peut devenir suspect si le capteur est trop sensible.
Une réponse communautaire à la surveillance
Face à cette pression, la solidarité motarde évolue. Des groupes d’échange se créent sur Telegram, Discord ou les forums, partageant les emplacements de radars, les retours d’expérience, ou les astuces pour rouler sans stress. Ce n’est pas de la triche : c’est de l’adaptation.
La moto change, mais l’esprit motard, lui, résiste. Malgré les caméras et les capteurs, la passion reste intacte. Elle s’adapte, se réinvente, mais elle ne s’éteint pas.
Avec l’arrivée des radars intelligents, les motards doivent repenser leur manière de rouler. Trajectoire, bruit, comportement dynamique : tout est désormais analysé par des capteurs automatisés. Pourtant, la communauté s’organise, s’adapte, et garde vivante une passion mise à l’épreuve par la technologie. Entre liberté et surveillance, la route devient un terrain d’équilibre permanent.
Cela devient de plus en plus compliqué de rouler à moto..
Le HARCÈLEMENT PERMANENT DE TOUT CE QUI ROULE EST INSUPPORTABLE !
En plus c’est conçu par des idiots : par exemple si 1 radar multifonction cherche La DISTANCE DE SÉCURITÉ, qu’est-ce qui prouve que le véhicule trop proche n’est pas tout simplement en train d’essayer de doubler, mais qu’il attends parce que des véhicules viennent en face ? Ces radars sont DES HÉRÉSIES ! Stop HARCELEMENT 2 & 4 ROUES !!!
On est juste baisé par des crevures qui n’en veulent qu’à notre tune, la sécurité, l’écologie ne sont que prétexte à nous taxer sous bonne conscience, même si nous sommes par chance dans un pays de droits, nous perdons peu à peu notre liberté, je plain les générations avenir…
Bonjour à tous les motards où va-t-on mais on y va par contre pour mettre des PV au téléphone portable dans les voitures même si soi-disant c’est les seniors qui créent le plus d’accident c’est du n’importe quoi on devrait mettre un t derrière les voitures ceux qui sont en possession d’un téléphone portable ça fait 50 ans que je fais de la moto j’ai jamais eu de problème par contre j’ai des voitures. mais j’ai eu deux accidents à cause des idiots de jeunes merdeux avec leurs téléphone portable c’est là qu’on devrait agir quelle bande de ringard ceux la . Qu’on laisse les motards tranquille
Plus rien n’est autorisé maintenant et tout est fait pour récupérer du pognon et ce qui ne peut pas rapporter de pognon est simplement interdit. Cela s’appelle je crois » état dictatorial » et notre président est content car il commande tout et dirige tout !
Je salue l’arrivé de ces radars.
Quand on est exposé à ce bruit agressif et volontaire en permanence on ne veut qu’une chose: que ça s’arrête.
Une minorité ? Mon c.. !
Bravo les ingénieurs qui ont développé ce dispositif et merci à nos élu d’avoir passé la loi.