MotoGP ou route : pourquoi l’équipement complet est non négociable !
On le sait tous : la moto, c’est la liberté, l’adrénaline, le kiff ultime. Mais cette sensation grisante s’accompagne aussi d’un danger bien réel. L’accident de Jorge Martin lors des tests de pré-saison MotoGP 2025 est l’exemple parfait : un highside brutal, un vol plané digne d’un film d’action, et au final, deux fractures. Heureusement qu’il était bien équipé ! Car sans son casque, sa combi et ses protections, le résultat aurait été bien pire. Alors toi aussi, que tu sois sur route ou sur circuit, négliger ton équipement, c’est jouer à la roulette russe avec ta peau !
Les highside, une menace imprévisible
Les highsides, ce n’est pas le truc qu’on croise à tous les virages, mais quand ça arrive, ça pique ! En gros, ça se produit quand l’arrière de ta bécane décroche puis raccroche brutalement, te catapultant comme un vulgaire pantin. En compétition, les pilotes sont exposés à ce genre de chute, mais toi aussi tu peux y passer si tu roules trop fort sur route mouillée ou verglacée.
Alors oui, pencher le genou à ras du bitume, c’est stylé, mais quand la moto décide de te larguer, mieux vaut avoir de quoi amortir le choc !
Le casque : ton bouclier ultime
Un bon casque, ce n’est pas juste pour faire joli. Jorge Martin portait un Alpinestars Supertech R10 et pourtant, il a perdu une partie sous l’impact. Imagine une seconde que tu sois en jet ou, pire, sans casque… ça te tente de manger le bitume avec le menton ? Clairement non. Alors exit les casques « cool » qui laissent la gueule à l’air, et investis dans un intégral qui te protège vraiment.
La combi et l’airbag : ton meilleur allié
Martin s’en est sorti « seulement » avec deux fractures, et c’est en grande partie grâce à sa combinaison équipée d’un airbag. Cet équipement, encore trop sous-estimé chez les motards du quotidien, est une révolution. Il absorbe une grosse partie du choc et limite les fractures. Oui, une combi en cuir avec airbag, ça coûte un bras. Mais entre payer cher pour te protéger et passer des mois à l’hôpital, le choix est vite fait, non ?
Les gants et bottes : pas juste pour le style
Les mains et les pieds prennent cher en cas de chute. Sans gants renforcés, c’est la certitude de finir avec des doigts en vrac. Quant aux baskets, elles sont bonnes pour la ville, mais sur une moto, elles ne protègent rien. Les bottes montantes, c’est le minimum syndical pour éviter une fracture de la cheville.