WSBK 2025 : Les motos Ducati règnent sans partage, une compétition sans surprise
🏍️️ Si tu te demandes qui va dominer le MotoGP et le WSBK en 2025, j’ai quelques news excitantes pour toi. Dans un monde où les Ducati règnent sans partage, t’attends-tu à une compétition palpitante ? Reste avec moi, le ride promet d’être épique.
Le MotoGP et le WSBK 2025 s’annoncent, et franchement, ça commence mal. Entre les blessures des pilotes, les soucis mécaniques et un championnat WSBK qui vire au sketch, on n’est pas vraiment dans l’excitation habituelle du début de saison. Si t’espérais voir du combat, des dépassements à l’arrache et du suspense, ben… t’as peut-être misé sur la mauvaise année.
MotoGP : Une course amputée
Le premier Grand Prix de la saison arrive en Thaïlande, et c’est déjà une hécatombe. Jorge Martin ? Blessé à la main et au pied, il va rouler, mais en mode « sortie d’essai », autant dire qu’il ne faudra pas compter sur lui pour envoyer du lourd. Bastianini et Vinales ? Ils galèrent encore à s’adapter à leur nouvelle bécane, faute d’essais suffisants. KTM ? Acosta a montré des trucs sympas cet hiver, mais derrière lui, c’est la débandade.
Franchement, un championnat qui commence avec des pilotes pas au top, ça fait un peu GP au rabais. Mais la palme du problème revient à Aprilia : l’équipe galère à boucler son budget, faute de sponsors. En Italie, où le sponsoring est une institution, c’est un comble !
WSBK : Un championnat bidonné
Là, on atteint des sommets. Le règlement 2025 était censé équilibrer les forces entre les marques pour éviter qu’une seule domine outrageusement. Spoiler alert : c’est tout l’inverse. Résultat ? Six Ducati en tête lors de la deuxième course du premier week-end !
Bulega rafle tout : pole, victoires, domination absolue. Et Razgatlioglu, le seul qui pouvait lui tenir tête l’an dernier, se retrouve à jouer les figurants. Pire encore, sa BMW a été complètement désavantagée par les nouvelles règles. Dégoûté, le Turc menace même de tout plaquer si ça continue comme ça.On atteint un niveau de manipulation du championnat qui frôle le ridicule. Un sport où on connaît le vainqueur avant même de rouler, c’est plus un championnat, c’est une parodie.